La Solidarité Sénégalaise

La Solidarité Sénégalaise

La solidarité humaine est un lien amical et une valeur sociale importante qui unissent le destin de tous les hommes les uns aux autres. C'est une démarche humaniste qui fait prendre conscience que tous les hommes dépendent à la même communauté d'intérêt. Fait d'être solidaire c’est la  relation entre personnes qui entraîne une obligation morale d'assistance mutuelle. 

LA VALEUR  DE LA SOLIDARITÉ

La solidarité est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d'un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs de ses membres concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c'est l'avenir du groupe donc le sien qui pourrait être compromis.

En matière juridique ce qui est l'origine première du mot solidaire, lorsque la solidarité est prononcée, notamment pour des créances, chacun des membres du groupe est engagé, en termes de dette et de responsabilité, pour la totalité. La dette ne peut alors être divisée et répartie entre les individus.

En effet la solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante qui unissent le destin de tous les hommes les uns aux autres. C'est une démarche humaniste qui fait prendre conscience que tous les hommes appartiennent à la même communauté d'intérêt.

Elle doit être distinguée de l’altruisme qui conduit à aider son prochain, par simple engagement moral, sans qu'il y ait nécessité de réciprocité, ainsi que de la coopération où chacun travaille dans un esprit d'intérêt général pour l'ensemble.

LE BUT DE LA SOLIDARITÉ

Se sentir solidaire, c'est d'abord aimer son prochain et accepter de l'aider. La solidarité est utile à la société, car elle rend la société plus équilibrée et sereine.

Dans notre société la solidarité est peu présente en effet la loi du capitalisme et de l’individualisme fait que seul la réussite personnelle et valorise, il y’a une valorisation de l’argent face à l’humain, cette soif d’argent va créer une compétition qui va délaisser les plus pauvre, la famine ne cesse d’augmenter, aujourd’hui des millions de personnes sont touché par la faim, alors que seulement 3 % de la population possède la moitié de la richesse mondiale. Mais la solidarité est comme même présente, en effet il existe de nombreuse association humanitaire qui aide gratuitement les plus démunie, ils sont financés grâce aux dons et à l’aide de l’état, il existe différent types association, comme par exemple l’aide au logement ou encore l’aide au niveau de la malnutrition, certaines associations sont également spécialisés dans l’aide psychologique. Il y’a aussi des aides de l’état qui vont à travers la cotisation aider des individus à s’intégrer socialement et financièrement, on peut parler de solidarité indirect. La solidarité est aussi très forte quand il y’a une grosse catastrophe naturel, comme par exemple dans le texte ou tous les gens s’entraide, on peut voir un grand partage. Dans ces moments la solidarité ce fait également au niveau international, par l’envoie d’aide humanitaire, comme quand la Suisse a offert son aide pour le tremblement de terre en Italie. On peut donc conclure que la solidarité permet de créer une unité très forte, la solidarité va donc définir le terme

La solidarité, à l’échelle d’un groupe, permet de faire avancer de grandes causes, et les exemples dans l’histoire ne manquent pas. Mais les bienfaits se mesurent aussi à l’échelle individuelle. Les neurosciences, d’ailleurs, commencent à investir ces champs-là. Engagement, altruisme, don de soi, amitié.

 L’expression du neurologue Pierre-Marie Lledo indique que nous savons aujourd’hui que ces comportements participent à la production de sérotonine qui est l’hormone de la régulation des humeurs, responsable du sentiment de quiétude dans le cerveau.

La psychologie positive, une méthode venue des USA, a précisément pour but de réinscrire les individus dans un processus de dépassement de soi, d’altruisme, dans le but d’obtenir un bonheur durable et de sortir de la quête obsessionnelle du plaisir ou de la récompense. Dans un article pour Sciences Humaines, le psychologue Jean-François Marmion en décrit le principe en ces termes comme le nectar de l’existence ne serait pas la belle vie mais une vie pleine de sens, où nous parvenons à transformer notre propre bonheur pour nous mettre au service des autres. Le sens n’aurait de sens que dans l’oubli de soi.

 

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